Placements financiers

Pourquoi faut-il diversifier son épargne et ses placements ?

Ruben Schemoul
Ruben Schemoul05 juin 2025
Pourquoi faut-il diversifier son épargne et ses placements ?
Sommaire

Vous avez un projet d'épargne ?

Que ce soit pour défiscaliser, faire fructifier votre argent ou épargner pour vos enfants, notre simulateur vous guide vers les solutions adaptées à vos objectifs !

Pourquoi faut-il diversifier son épargne et ses placements ?

Le mot d’ordre de tout investisseur est simple : ne jamais mettre tous ses œufs dans le même panier. Cette phrase se décline aujourd’hui en une notion plus technique mais essentielle : la diversification des placements. Elle consiste à répartir votre épargne sur plusieurs catégories d’actifs, plusieurs zones géographiques et sur différents horizons temporels. Le but est de limiter la volatilité, de réduire le risque mais aussi de lisser les rendements.

Chaque grande classe d’actifs comme les actions, les obligations, l'immobilier, les fonds ou encore les actifs alternatifs, jouent un rôle précis dans votre portefeuille. Au-delà de ces piliers, des solutions innovantes comme l’investissement dans la terre agricole offrent aujourd’hui la possibilité d’ajouter un actif tangible et peu corrélé aux marchés financiers traditionnels, tout en soutenant une agriculture locale et durable.

A travers cet article, vous allez découvrir pourquoi diversifier vos placements et comment le faire concrètement, quels leviers fiscaux et opérationnels actionner ou encore comment piloter et ajuster votre stratégie dans le temps. Vous disposerez d’une feuille de route complète pour bâtir un portefeuille performant, robuste face aux cycles économiques et aligné avec vos objectifs de vie et vos besoins de liquidité sur le long terme.

Les fondements de la diversification : protéger et faire croître son épargne

Comprendre les deux visages du risque

Investir signifie accepter une part de risque, mais celui-ci n’est pas monolithique. On distingue deux types de risque, le risque systématique qui est lié aux grandes tendances macroéconomiques (croissance mondiale, politique monétaire, crises géopolitiques) et le risque non systématique qui lui est propre à une entreprise, à un secteur ou à une zone géographique.

Une grosse action technologique, par exemple, peut chuter si l’entreprise rencontre un problème de gouvernance ou si un concurrent lance une innovation disruptive. Une crise pétrolière, quant à elle, pèsera globalement sur les cours de l’énergie.

La diversification vise avant tout à réduire ce risque non systématique : en détenant plusieurs dizaines d’actions issues de secteurs différents et de zones géographiques variées, pour protéger votre portefeuille des mauvaises nouvelles spécifiques à une seule entreprise ou à un seul pays.

Bon à savoir 💡

Si un choc pèse sur le secteur bancaire en Europe, votre exposition aux obligations souveraines, à l’immobilier ou à l’or reste relativement préservée.

Diversifier pour lisser la volatilité et stabiliser les rendements

Au fil des années, l’histoire des marchés financiers montre des oscillations marquées : bulles spéculatives, crises boursières, phases de turbulence. Malgré ces secousses, la tendance de fond des grandes actions cotées et des indices mondiaux reste haussière.

Mais certains actifs comme les obligations d’État ont tendance à progresser lorsque les actions chutent, fonctionnant comme un amortisseur. De même, l’immobilier résidentiel ou tertiaire affiche une corrélation plus faible avec les indices boursiers. La terre agricole affiche quant à elle une corrélation avec les marchés boursiers encore plus faible que l’immobilier.

En combinant ces différentes classes d’actifs, votre portefeuille voit sa courbe de valeur plus douce, moins soumise aux pics et aux creux extrêmes. Certes vous ne profiterez peut‑être pas à 100 % de chaque rallye haussier, mais vous limiterez également la casse lors des baisses sévères.

Bon à savoir 💡

Sur le moyen et long terme, cette diversification permet de dégager une performance annualisée plus régulière qui correspond mieux aux besoins et aux impératifs de nombreux investisseurs.

La notion de corrélation : l’art de marier des actifs qui évoluent différemment

Deux actifs sont corrélés si leurs prix ont tendance à évoluer dans la même direction. Les actions de grandes banques européennes sont souvent très corrélées entre elles, tout comme certains secteurs technologiques américains.

En revanche, l’or et les obligations d’État ont souvent une corrélation négative avec les actions : lorsque le marché boursier panique, l’or à tendance à augmenter tout comme les obligations souveraines.

Pour réussir sa diversification, il faut donc choisir des actifs dont les performances se complètent. Un portefeuille idéal associe des éléments corrélés positivement pour capter la croissance avec des actifs corrélés négativement ou faiblement pour amortir les chocs. L’objectif est d’atteindre un équilibre dynamique où la performance globale n’est pas soumise à un seul cycle de marché.

Les grandes classes d’actifs : rôles, avantages et inconvénients

Les actions : croissance, dividendes et volatilité maîtrisée

Les actions constituent la clé de voûte de tout portefeuille ambitieux. En détenant un titre, vous devenez copropriétaire d’une entreprise, vous participez à ses bénéfices et bénéficiez potentiellement de dividendes. Les titres de sociétés innovantes (technologie, santé, énergies renouvelables) peuvent offrir une croissance élevée parfois à deux chiffres annualisés.

Pour limiter la volatilité liée à un unique titre, les investisseurs peuvent utiliser des ETF (Exchange Traded Funds) ou aux fonds indiciels. Ces supports regroupent des paniers de plusieurs dizaines, voire centaines d'actions réparties selon un secteurs ou indice comme le S&P 500, MSCI World ou encore le Nasdaq 100.

L’avantage est triple : la diversification est immédiate, les frais de gestion sont généralement réduits et celà offre la possibilité de répliquer simplement la performance d’un grand marché. En l’absence de sélection active, ces fonds permettent de capter la performance moyenne du marché sur le long terme.

Les obligations : le pilier défensif et la recherche de revenus fixes

Les obligations sont le pendant sécuritaire des actions. En achetant un titre de dette émis par un État ou une entreprise, vous prêtez votre argent contre le versement de coupons réguliers et la restitution du capital à l’échéance. Les obligations d’État (OAT, Bund, Treasuries) sont notamment utilisées pour leur quasi‑sécurité et leur liquidité. Les obligations d’entreprises proposent un rendement légèrement supérieur, mais avec un risque de crédit accru.

Bon à savoir 💡

En période de stress des marchés, la demande sur ces emprunts augmente. Les taux baissent, la valeur des obligations monte et le portefeuille bénéficie d’une stabilisation. Incorporer 20 à 40 % d’obligations dans une allocation équilibrée est un moyen de lisser le profil de risque et de garantir des revenus qui bien que modestes restent prévisibles.

L’immobilier : actif tangible, effet de levier et revenus locatifs

L’immobilier est apprécié pour sa dualité : il offre à la fois un rendement sous forme de loyers et une valorisation du capital. L’achat en direct d’un appartement, d’un bureau ou d’un local commercial permet un effet de levier grâce à l’emprunt immobilier, qui amplifie la performance en période de hausse des prix et de loyers. L'inconvénient est que cette stratégie requiert une gestion active : recherche de locataires, état des lieux, travaux, risques de vacance locative et sinistres.

Les parts de SCPI (Sociétés Civiles de Placement Immobilier) proposent une alternative clé en main. Vous devenez associé d’un parc immobilier professionnel : bureaux, commerces, santé, logistique. La société de gestion collecte les loyers, gère la maintenance et distribue un dividende annuel généralement compris entre 4 % et 6 % net de frais.

La liquidité est meilleure qu’en direct et la diversification interne à la SCPI (plusieurs immeubles, plusieurs locataires) renforce la résilience. L’investisseur peut ainsi consacrer une part de 10 à 20 % de son portefeuille à l’immobilier, sans les contraintes de la gestion locative.

Les fonds et les ETF : les outils de la diversification instantanée

Les fonds communs de placement et les ETF sont les instruments les plus flexibles pour diversifier rapidement. Un seul ETF « monde émergents » vous donne accès à des dizaines d’actions de pays comme la Chine, l’Inde ou le Brésil. Un fonds thématique « technologie durable » regroupe des entreprises de la transition verte. Les frais de gestion des ETF s’échelonnent entre 0,05 % et 0,5 % par an, bien inférieurs à ceux des fonds actifs, et leur liquidité quotidienne facilite les arbitrages.

En créant un portefeuille qui comprend des ETF pour les actions, des obligations d’État, des obligations d’entreprises et des actifs thématiques (infrastructures, santé, robotique), vous obtenez une diversification en quelques ordres de bourse. Pour un investisseur qui débute ou pour une poche régulière de versements programmés, ces actifs constituent un socle robuste et peu coûteux.

Les actifs alternatifs : or, cryptomonnaies, forêts, vignes…

Au sein de la panoplie de la diversification, les « actifs alternatifs » apportent un supplément d’âme et de résilience.

L’or, bien que ne rapportant pas de rendement courant, conserve une valeur refuge en cas de crise majeure ou d’inflation galopante. La pierre angulaire des portefeuilles « tout risque », il occupe souvent une poche de 5 % à 10 %.

Les cryptomonnaies sont quant à elles à considérer comme une petite portion spéculative (< 5 %) : leur volatilité extrême peut offrir de fortes plus‑values, mais est à double tranchant.

Au-delà de ces actifs liquides, d’autres placements tangibles se développent  comme les forêts (revenus issus de la vente de bois), les domaines viticoles (partage des profits de la vendange), les œuvres d’art (investissement culturel) ou encore la terre agricole qui représente une source de diversification durable et souvent négligée.

Mettre en place une stratégie de diversification pas à pas

Définir vos objectifs et votre horizon de placement

Avant toute décision, prenez le temps de clarifier vos projets : achat d’une résidence principale, lancement d’une entreprise, financement des études des enfants, préparation de la retraite... Chaque objectif se rattache à un horizon différent, plus cet horizon est court, plus la priorité va à la liquidité et à la préservation du capital. Un projet à trois ans exige des supports sécurisés (livret, compte à terme, obligations court terme), au-delà de cinq ans, la part d’actions et d’immobilier peut progressivement croître. Au-delà de dix ans, le temps devient votre meilleur allié pour capter les cycles de croissance des marchés.

Évaluer votre tolérance au risque

Chacun a une sensibilité différente à la volatilité, certains investisseurs vont ignorer les variations de – 30 %, d’autres paniquent à la moindre baisse de 3 %. Pour évaluer sereinement votre profil, posez-vous des questions concrètes : si mon portefeuille perdait 20 % en un an, serais-je prêt à conserver mes positions ou envisage‑je un retrait ? Que se passerait-il si j’avais besoin de reconstituer rapidement de la trésorerie pour un projet familial ? À partir de ces réponses, positionnez-vous entre profil conservateur (faible volatilité, faible exposition actions), profil équilibré et profil dynamique (tolérant au risque et à l'exposition sur les actions).

Choisir et répartir vos enveloppes fiscales

La diversification ne se limite pas aux actifs. Elle s’étend aux enveloppes de placement. Chacune a ses spécificités fiscales et ses niveaux de liquidité :

  • L’assurance‑vie multisupport permet de positionner des sommes sur fonds euros (sécurité) et unités de compte (actions, SCPI, ETF), tout en bénéficiant d’une fiscalité réduite après huit ans.
  • Le PEA favorise l’investissement en actions européennes, avec une exonération d’impôt sur les plus‑values après cinq ans.
  • Le Plan d’Épargne Retraite (PER) offre une déduction fiscale immédiate en échange d’un blocage jusqu’à la retraite.
  • Enfin, le compte‑titres donne l’accès à des marchés internationaux et à tous les types de fonds ou d’actions, sous réserve d’une imposition au Prélèvement Forfaitaire Unique.

Un investisseur avisé répartira son épargne dans ces enveloppes selon ses objectifs et son horizon, tout en veillant aux plafonds (150 000 € pour le PEA, 92 000 € pour les versements sur le PER…) et aux différents frais de gestion.

Mettre en place des versements programmés

Le Dollar ‏Cost Averaging (DCA) est une méthode simple et efficace: vous achetez chaque mois ou chaque trimestre un montant fixe sur vos supports préférés, quelles que soient les conditions de marché. Cette régularité lisse votre prix d’achat et vous protège du risque de chronométrer le sommet. Pour un investisseur salarié ou entrepreneur qui épargne de façon récurrente, le DCA est un excellent moyen de construire progressivement un portefeuille diversifié, sans céder à la tentation des « entrées » ou « sorties » impulsives.

Rééquilibrer et ajuster votre portefeuille

Dans le temps, les performances de chaque classe d’actifs font évoluer la pondération initiale. Si les actions ont connu une année exceptionnelle et passent de 50 % à 60 % dans votre portefeuille, vous êtes désormais plus exposé au risque que prévu. Le rééquilibrage consiste à vendre une partie de ces positions sur-représentées pour renforcer les actifs sous-représentés (obligations, immobilier, actifs alternatifs), et revenir à l’allocation cible.

Cette gymnastique, à pratiquer semestriellement ou annuellement, impose de la discipline : vous vendez haut et achetez bas sans vous laisser guider par l’émotion.

En parallèle, restez attentif aux signaux macroéconomiques (état de la croissance, trajectoire des taux d’intérêt, tensions géopolitiques) et aux innovations financières (obligations vertes, fonds à impact, nouvelles classes d’actifs).

Bon à savoir 💡

Si une opportunité majeure se présente comme le lancement d’un ETF thématique porteur ou une crise créant un point d’entrée intéressant, un ajustement tactique temporaire peut être pertinent, avant de réajuster à nouveau en alignement avec votre stratégie long terme.

La terre agricole : une diversification innovante et responsable

Pourquoi intégrer la terre agricole dans son portefeuille ?

Traditionnellement réservé aux exploitants ou aux grandes foncières, l’investissement dans la terre agricole intéresse de plus en plus les particuliers pour plusieurs raisons.

D’abord, il s’agit d’un actif tangible et rare : la surface cultivable diminue face à l’urbanisation tandis que la demande alimentaire mondiale continue de croître. Ensuite, la terre agricole est faiblement corrélée aux marchés boursiers, ses prix varient selon les récoltes, les subventions, la qualité des sols et la demande mondiale, plutôt qu’en fonction des indicateurs macro financiers. Enfin, elle génère des revenus réguliers sous forme de loyers agricoles, versés par les exploitants.

Sur le long terme, l’évolution des prix des terres a été historiquement stable, avec une tendance haussière (3 % par an sur les 20 dernières années en France) en présentant une volatilité beaucoup moins marquée que les actions. Incorporer de 5 % à 10 % de son patrimoine dans des actifs comme la terre agricole améliore la résilience globale du portefeuille, surtout en période de forte turbulence des marchés financiers.

Hectarea : la plateforme pour investir simplement dans la terre agricole

Hectarea est une société innovante, qui permet aux particuliers d'investir directement dans la terre agricole. Sur sa plateforme, vous pouvez :

  • Investir dans un actif tangible et sécurisé: en achetant uniquement de la terre agricole (et non l’exploitation), vous limitez les risques
  • Générer 2 sources de rendement: percevez un loyer mensuel équivalent à 3% par an selon les projets et réalisez une plus-value potentielle à la revente de la terre au terme de l'investissement, pour une rentabilité cible de 5 à 7% par an.
  • Avoir un impact concret: vous soutenez des agriculteurs engagés, tant sur le plan social (installation, développement) qui environnemental avec une vision agricole durable et responsable
  • Créer du lien avec ceux qui vous nourrissent: suivez l’évolution de vos parcelles, échangez avec les agriculteurs via un mini réseau social et participez à des visites de terrain.

Cette solution offre un actif supplémentaire faiblement corrélé aux marchés financiers et soutient directement les exploitations agricoles locales.

Cas pratique : comment allouer la terre agricole

Imaginons que vous gérez un portefeuille de 10 000 € réparti initialement ainsi : 40 % en actions, 30 % en obligations, 10 % en SCPI, 5 % en or et 5 % en cryptomonnaies. Pour diversifier davantage et réduire la corrélation globale, vous décidez d’allouer 1 000 € (10 %) à la terre agricole. Vous vendez 500 € d’actions et 250 € de cryptomonnaies et vous affectez ces fonds à la terre agricole. Résultat : votre portefeuille gagne en résilience. Si un krach boursier survient, le choc sur la valeur totale sera amoindri par la stabilité des revenus fonciers agricoles.

Sur la durée, si les parcelles génèrent un rendement foncier net de 2,5 % et une plus-value de 2 % par an, leur contribution au rendement global du portefeuille est significative, tout en demeurant une poche à faible volatilité. En comparaison, les cryptomonnaies auraient pu chuter de 40 % en un an et l’or, de 10 %. Grâce à la terre agricole, votre portefeuille devient plus résilient et plus durable.

Bonnes pratiques, erreurs à éviter et conseils pour durer

Ne pas confondre diversification et complexité inutile

La diversification ne consiste pas à multiplier les décisions d’investissement sans cohérence et stratégie. Mieux vaut quelques classes d’actifs complémentaires, bien maîtrisées, qu’une vingtaine de solutions superposées sans réelle logique de corrélation.

De même, attention aux frais cachés , comme les frais d’entrée sur certaines SCPI, les commissions de courtage ou encore des frais de gestion d’assurance‑vie trop importants. Un suivi régulier de ces coûts et une comparaison entre différents supports est indispensable pour préserver le rendement net de votre épargne.

Garder le cap et éviter les réactions émotionnelles

En marché haussier, l’attrait du rendement est fort : nombreux sont les investisseurs qui cèdent à la tentation de surpondérer les actions, oubliant leur profil initial. À l’inverse, face à une forte correction, la panique pousse souvent à liquider massivement ses positions au plus mauvais moment. La discipline du rééquilibrage périodique, planifié à l’avance, empêche ces réactions émotionnelles. Vous savez que chaque semestre, vous reviendrez à vos poids cibles, évitant ainsi les décisions émotionnelles souvent néfastes pour votre stratégie d’investissement à long terme.

Réévaluer ses objectifs de vie et son horizon

La diversification n’est pas un acte ponctuel ; c’est un processus à vie. Votre situation personnelle évolue : naissance d’un enfant, évolution professionnelle, projet d’achat immobilier, préparation de la retraite. Chacune de ces étapes modifie votre horizon de placement et votre tolérance au risque. Ne craignez pas de revoir votre stratégie.

Se former et s’informer en continu

Les innovations financières sont nombreuses : obligations vertes, ETF thématiques, fonds à impact social, fintechs de gestion automatisée. Les réglementations évoluent également au fil du temps, les plafonds des produits d'épargne, la fiscalité ou encore les tendances d'investissements évoluent.

Pour rester à la pointe, consultez des blogs spécialisés comme En Place, ou faites le choix de vous faire accompagner dans votre démarche d'investissement par Mon Petit Placement.

Bâtir un patrimoine durable, performant et résilient

La diversification est la colonne vertébrale de toute gestion de patrimoine efficace. En répartissant votre épargne entre actions, obligations, immobilier, fonds, SCPI et des actifs alternatifs comme la terre agricole, vous créez un portefeuille capable de résister aux variations du marché et de tirer parti des cycles de croissance.

La clé réside dans une stratégie claire et alignée sur vos objectifs de vie et votre tolérance au risque.

À l’heure où les défis environnementaux et sociaux pèsent sur l’économie mondiale, intégrer des placements à impact qu’il s’agisse de forêts, de vignes ou de terres agricoles permet de concilier performance financière et responsabilité sociétale.

Vous n’êtes plus seulement un investisseur : vous devenez un acteur de la transition tout en construisant un patrimoine durable pour vous et vos proches.

Ruben Schemoul
Ruben Schemoul05 juin 2025